Un think tank américain vient de publier un classement des pays où la vie est meilleure pour des jeunes ayant la vingtaine. Où désirez-vous vous installer ?
Il est tentant de changer de destination lorsque l’on est jeune, et choisir une destination où l’herbe serait plus verte relève parfois du casse-tête. Le think tank américain baptisé Youthonomics a élaboré un classement des 64 pays où il fait bon vivre lorsque l’on a 20 ans.
« L’idée était de mettre les pays en compétition pour pousser les politiques à réagir. À défaut de quoi les jeunes vont naturellement prendre la poudre d’escampette », indique Felix Marquardt, fondateur de Youthonomics. Il estime que ceux qui partiront seront des « des agents internationaux ».
Afin de mettre au point ce classement, Youthonomics s’est basé sur la situation des jeunes aujourd’hui, en prenant en compte des éléments tels que l’éducation, l’emploi, les droits, ou encore l’optimisme présent chez les jeunes. Le think thank s’est également aidé des perspectives d’avenir de cette génération, en considérant des éléments économiques, politiques, et relatifs aux finances publiques. En tout, 59 critères ont été pris en compte.
On le sait, d’une manière générale les pays où il fait bon vivre sont les pays nordiques. Ainsi, dans le classement général, le trio de tête compte deux pays scandinaves : la Norvège est en tête, suivie de la Suisse et du Danemark (la Suède est 4e). La France quant à elle, se place en 19e place. Si l’on prend seulement le critère de l’emploi, la Suisse est devant, suivie de l’Allemagne et de la Norvège. Suivant ce critère, la France pointe donc à la 42e place.
Voici le classement du top 20 des pays où il fait bon vivre lorsque l’on a 20 ans issu du Youthonomics Global Index 2015, suivi du top 5 des pays quant au « bien-être » des jeunes et le top 5 des pays où les jeunes sont le plus optimistes.
Credit: Youthonomics Credit: Youthonomics Top 5 des pays les mieux notés sur le « bien-être » des jeunes Credit: Youthonomics Les pays où les jeunes sont les plus optimistesSources : L’Union – Les Échos
Crédit images : Youthonomics Global Index 2015
