En 2017, Netflix a réalisé puis diffusé un documentaire sur le concept du minimalisme dont le but est de « reprendre le contrôle de sa propre vie » tout en simplifiant cette dernière au maximum.
Joshua Fields Millburn et Ryan Nicodemus forment le duo connu outre-Atlantique sous le nom The minimalists, deux amis ayant popularisé le concept. Selon leur page officielle, « 20 millions de personnes vivent des vies significatives » grâce à leurs documentaires, livres et autres podcasts.
C’est justement ce duo qui a été suivi en 2017 dans le documentaire Minimalism : a documentary about the important things produit par Netflix. Un beau jour, Joshua Fields Millburn et Ryan Nicodemus se sont débarrassés de tout le superflu matériel omniprésent dans leur quotidien. Désormais, chaque objet que les intéressés possèdent a une utilité ou est une source de bonheur.
Cette notion également connue sous l’appellation « simplicité volontaire » est logiquement à contre-courant de ce qui est présenté depuis des décennies comme étant le rêve américain, pour lequel haut salaire rime avec possession matérielle jusqu’à l’excès. Le rêve américain est d’ailleurs encore très présent dans les esprits et véhiculé dans les médias, la publicité et la télévision.
Il faut savoir que le minimalisme (en termes de style de vie) est né dans les années 1970 aux États-Unis, où de nombreux jeunes ont été convaincus par les écrits d’Helen et Scott Nearing qui louent les bienfaits de la simplicité et du retour à la nature. À l’époque, ce mouvement était nommé « retour à la terre » puis a été petit à petit oublié avait de refaire surface il y a quelques années.
Voici l’analyse du Youtubeur Pierre Chevelle de la chaîne Changer le monde en 2 heures, ayant basculé lui aussi dans le minimalisme et ayant décidé de consacrer pas moins de trois vidéos sur le documentaire. Voici la première :